Chaque jour, les filles se heurtent à des obstacles à l'éducation dus à la pauvreté, aux normes et pratiques culturelles, à la médiocrité des infrastructures et à la violence. Le droit de jouer crée un récit puissant qui met en lumière les défis auxquels sont confrontées des millions de filles dans le monde dans leur quête d'éducation. En 2023, 129 millions de filles ne seront pas scolarisées dans le monde et seuls 49 % des pays auront atteint l'égalité des sexes dans l'enseignement primaire.

Le projet pose la question suivante : de quoi rêvent les filles ? Et que se passe-t-il lorsqu'un environnement favorable est créé où les filles sont responsabilisées et ont la possibilité d'apprendre et de rêver ? À quoi ressemble ce monde ?

Le résultat est une exploration poignante des rêves et des aspirations des jeunes filles, qui remet en question les attentes de la société qui limitent leur potentiel. En créant un monde ludique où les filles ne sont pas confinées par la pauvreté, les normes culturelles ou la violence, le film brosse un tableau saisissant des possibilités qui s'offrent à elles lorsqu'on leur donne l'occasion d'apprendre et de rêver librement.

The Right To Play fusionne la narration avec un monde ludique imaginé où les filles sont montrées d'une manière valorisante et affirmative, s'épanouissant en tant qu'héroïnes de leurs propres histoires et surmontant les nombreux obstacles à l'accès à l'éducation.

Ce projet a été créé avec Kakenya's Dream, une organisation à but non lucratif qui s'appuie sur l'éducation pour autonomiser les filles, mettre fin aux pratiques traditionnelles néfastes, notamment les mutilations génitales féminines (MGF) et les mariages d'enfants, et transformer les communautés dans les zones rurales du Kenya.